lundi 11 mars 2013

Échos céliniens...

> Revue : Le 8è numéro de la Revue de la Bibliothèque Nationale de France (2001) a consacré 10 pages à Céline en publiant quelques pages inédites du manuscrit de Voyage au bout de la nuit. Présentation et analyse signés Henri Godard. Un numéro toujours disponible (21,34 €) sur www.editions.bnf.fr, publié à l'occasion de l'acquisition du manuscrit par la BnF pour 11 millions de francs en mai 2001.

> Musique : Claude Nougaro évoque Céline dans sa chanson « Les Points » tiré de l'album Chansongs (1993). A écouter sur www.musicme.com.

> Céline/TardiLe livre et ses espaces a paru aux Presses universitaires de Paris Ouest en 2007. Dans ce recueil de travaux universitaires, un texte est consacré à l'étude de l'adaptation de Céline par Tardi : « L’illustration, une ouverture dans la page vers des ailleurs du texte : étude de l’adaptation de Louis-Ferdinand Céline par Jacques Tardi ». A lire sur www.books.openedition.org.

> Christophe Malavoy confirme lors d'une interview publiée le 11 mars 2013 ses difficultés à monter un film sur Céline : « J'essaie de monter un film sur Louis-Ferdinand Céline, avec Jacques Dutronc dans le rôle-titre, mais il a du mal à voir le jour... ». www.tvmag.lefigaro.fr. Sur le sujet, voir aussi notre entretien du 14 novembre 2011. 

> PresseLa Nouvelle République revient sur le concert composé à partir du texte A l'agité du bocal par Bernard Cavanna, joué par l'ensemble Ars Nova le 7 mars dernier à Poitiers : « Rebelote jeudi avec "A l'agité du bocal", nom emprunté au texte de Louis-Ferdinand Céline qui sert de base à ce concert chanté. Un pamphlet critique sur Jean-Paul Sartre, que Céline a rebaptisé Jean-Baptiste Sartre, pour l'occasion. En introduction, Bernard Cavanna est monté sur scène pour présenter son œuvre dont la première avait donc lieu ce soir-là. Le public a pu découvrir l'homme, tout aussi drôle et agité que sa musique : « J'ai donné à cette création le sous-titre " Bousin pour trois ténors dépareillés et orchestre de foire " ». Il n'aura en effet pas fallu plus d'une mesure pour être amusé par ces ténors aux personnalités désaccordées, comme par l'orchestre d'Ars Nova qui a hébergé pour l'occasion un orgue de barbarie, un accordéon chromatique ou encore deux cornemuses… Une farce à prendre au second degré qui sied bien au texte on-ne-peut-plus scatologique qu'il était aisé de comprendre grâce au surtitrage installé dans les hauteurs de scène. Peut-être l'auditorium n'avait-il d'ailleurs jamais résonné sous tant d'invective et de trivialité… que nous ne saurions reproduire ici.  » www.lanouvellereublique.fr, 9 mars 2013.

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