lundi 7 février 2011

Télérama : un numéro spécial Louis-Ferdinand Céline en juin

Télérama annonce dans son numéro du 2 février 2011 la sortie pour juin d'un hors-série consacré à Louis-Ferdinand Céline.
Merci à E C-G pour l'info.

7 commentaires:

  1. L'association Céline-Télérama me paraît des plus hasardeuses (je sais de quoi je cause, il arrive à la maison chaque semaine, grâce à ma femme).
    Nous verrons bien, mais je suis comme la fosse du même nom.

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  2. un spécial Céline par télérama on peut craindre le pire.

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  3. Télérama, on connaît ses tropismes, mais arrêtez de juger avant d'avoir vu, un peu de patience, et après allez-y, mais là c'est de la boule de cristal !

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  4. vivement 2012 qu'on oublie tout ça.
    c'est à vomir.

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  5. A quand, Géo , Marianne, Paris-Match et Libé!
    Y a du grain à moudre...

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  6. Faudrait choisir. Quand on évite de parler de Céline dans les livres ou journaux, en classe ou en université, , certains crient à l'injustice, à la censure, à l'étouffement, et quand on en parle, en bien ou en mal, d'autres crient au débordement, à la récupération, au bas commerce, à la vulgarisation. Ces derniers regrettent-ils le temps( années 65...) où on ne trouvait pas de livres de Céline en librairie, où tout célinien semblait faire partie d'une secte ou d'un complot... Regrettent-ils qu'on ne confondent plus Céline avec Céline Dion ou les sacs du même nom ? Plus on parle de Céline, même à tort et à travers, mieux c'est, je trouve, car trop de jeunes et moins jeunes ignorent jusqu'à son nom, alors qu'ils ont eu la tête bourrée d'autres noms d'écrivains, d'autres lectures. Les grands classiques du XVI ou XVIIe n'ont surnagé des médiocres que parce qu'ils avaient des supporters. Les supporters ne sont pas toujours raffinés, indépendants ou philanthropes, mais ils sont nécessaires à la divulgation d'une oeuvre, à la révélation d'un univers, même si celui ci leur échappe. Alors, j'attends des articles dans Marianne et Libé et partout. Les fins lecteurs choisiront. Sauront faire la différence entre le livre qui apporte quelque chose et celui qui n'apporte guère ou rien. Croyez-vous que tous les livres sur Napoléon ou Shakespeare sont à acheter, lire ou garder ou relire ? Un sur dix ou sur vingt. Pour Céline, qu'il en soit de même, serait la preuve qu'il est enfin reconnu, malgré, malgré, malgré... preuve qu'il est vraiment l'un des plus grands !

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  7. Syndrome du propriétaire.
    E C-G

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